Coucou ma chérie-chéri ! what are you up to, these days ?
De mon côté. Je commence, enfin, je continue, j'accentue, mon brainstorming sur les surprises du Bootcamp. Les surprises que je vais faire aux participantes. Celles que je vais leur proposer de se faire à elles-mêmes. Et celles que je vais leur demander d'imaginer les unes pour les autres ?
Evidemment... j'ai envie de tout te raconter là maintenant.
Et je peux te partager les questions qui sous-tendent ma recherche.
Quels peuvent être de bons supports physiques de l'amitié de soi à soi ?
Qu'est-ce qui serait à la fois enchanteur, et pratique à offrir ?
Jusqu'où je demande son aide à Chimène, ma graphiste en chef ? avec quel imaginaire, quelles couleurs, je lui fais le brief ?
Jusqu'où je sollicite chaque participante pour donner quelque chose qui lui tient à coeur ?
Qu'est-ce qui est juste ?
C'est ma grande question du moment.
C'est ma grande question à chaque instant où je prépare et anime une formation et où je suis consciente de mon geste.
C'est ma grande question quand je suis en prise avec l'un de mes clients, quand je suis consciente de sa présence, de sa voix, que je laisse résonner en moi ses paroles, ses émotions, ses victoires, sa recherche, sa douleur quelquefois.
Que dire, que taire, que demander, jusqu'où aller ? Trop : ça pourrait brusquer, pas assez : on risque le mou - et chaque personne n'a pas le même seuil de tolérance, et en plus ça dépend des jours !
Et ben. J'adore ce travail d'équilibriste. Je me ramasse, inévitablement. Je tombe de mon fil - pas avec toutes, avec certaines. Et puis on se relève - moi, et l'autre, on se relève si on a réussi à conclure l'alliance, la confiance que je veux ton bien et que tu es, que nous sommes équipées chacune avec nos forces, pour aller le chercher, le renforcer, le faire grandir.
Et si tu as envie de venir, écris moi : [email protected]. Il reste encore 20 places.
(Cette question.
Qu'est-ce qui est juste.
Et cette photo de ma grand-mère qui s'est invitée pour illustrer le billet.
Ça me ramène à mes très jeunes années, sur la plage du Rupione, en Corse.
Je collectais en douce des mégots de cigarettes sur le sable, et le tabac qui restait dans le mégot, je l'utilisais comme chocolat pour le gâteau de sable. Et à la fin, j'ajoutais toujours du sable très fin, très doux, en quantités mesurées, Un petit peu de sel, un petit peu de poivre...
Mam détestait la plage (comment peut-on détester la plage !!) et elle y allait en râlant, parce que moi j'adorais y aller, j'y aurais passé toutes mes journées bref elle m'accompagnait. Dès qu'elle avait le regard plongé dans ses mots croisés ou dans son tricot, je filais chercher des mégots avec mon saut, des mégots et des plumeaux de plage, elle n'était pas contente quand elle me voyait revenir le saut plein de mégots, elle me disait C'est dégoûtant !
Mais moi je trouvais que le tabac faisait un chocolat très efficace, sur mes gâteaux de sable).
Et toutes ces bobines rouges, c'est pourquoi :-)?
Rédigé par : Mayou/mayoutchoff | mardi 22 février 2022 à 14:26
En tout cas c’est TROP ! Je commence à coudre réparer des tapis des couvertures en patchwork j’avais envie de voir venir niveau fil…
Rédigé par : Christie | mardi 22 février 2022 à 14:41
Un SEAU (ni sot ni saut ni sceau)
Rédigé par : Passante | mardi 22 février 2022 à 20:46