maviesansmoi

les oiseaux sur mon balcon

Merci mes chéries pour vos messages et vos idées de vendredi et ce week-end.

Je me sens renouvelée, rassénérée, vue.

Bon le week-end aussi a été joyeux. Déjà il faisait super beau. Et puis Chimène et Alma étaient dans le coin ; et puis avec Nico nous sommes d'humeur rigoleuse et affectueuse ; aussi je cuisine super bien (j'ai le karma cuisine, ce qui est loiiiin d'être toujours le cas, mais ces temps-ci, tout ce que je prépare est bon). 

Je fais le point sur les sujets que vous m'avez confié. Un peu comme les filles à la maison, vous lire écrire sur le blog et chacune mettre son grain de sel... la vie circule. 

Je note donc, à venir (si j'y arrive - vos sujets + les miens) 

les doigts dans la prise
les cycles - et la charge mentale
la vie qui revient
la supervision professionnelle
lâcher ses kids (comment j'ai fait pour lâcher les miens)
l'amitié à l'âge adulte 
la curiosité
la page blanche 
un ikigai pour tous ? 
comment je garde mon couple vivant
comment je me ressource en ce moment
comment j’entretiens le lien avec mes enfants qui deviennent adultes
se noyer dans un verre d'eau
mon métier de coach, ce qu'il m'apporte, les questions récurrentes que j'observe

Qu'est-ce que j'oublie ? 
Qu'est-ce que tu vois d'autre ? 

Je viens de touiller mon compost du balcon, dans son seau ouvert. Il est grouillant de vers de compost roses que les oiseaux adorent - pas grouillant dégueu, grouillant "on bosse nous Madame". J'entends des chants d'oiseaux - peut-être que déjà ils gobent un ver ou deux.

Si je devais animer une conférence au débotté, je la ferais sur la magie du compost. Comment (sur ce balcon) mes cheveux, bouts d'ongles, les rouleaux de PQ, et toutes les fleurs tiges feuilles abimées, fabriquent de la terre super féconde ET ramènent des petits vers qui aèrent la terre et font plaisir aux oiseaux quand ils arrivent à en choper un. Bon je touille souvent et je découpe avec mes ciseaux IKEA !! 

Et toi chérie-chéri - si tu devais animer une conférence de 20 minutes, sans préparation - tu choisirais quel sujet ?  

what should I write about ?

Ma chérie-chéri, 

j'ai épuisé toute ma liste de sujets pour écrire.

Non pas tous !!! Et là ce soir - tandis que ce gâteau au choc termine de cuir dans le four - on s'est invités à dîner chez mon frère et ma bell's, la moindre des choses c'est d'apporter un gâteau - j'aurais envie, besoin, que tu viennes m'aider à soutenir le flambeau de l'écriture. Des idées pour l'écriture. 

Aujourd'hui je me sens oppressée par les demandes, les obligations. Je ne sais pas si c'est dans ma tête ou dans la réalité. Je me suis demandé si c'est ce que les femmes appellent la charge mentale. Les pages du matin avec leur potentiel organisateur (pendant 20-25 minutes chaque matin, j'envisage ma journée), me l'épargnent ou la traitent, cette charge mentale, depuis 14 ans 1/2. 

Bon. 

Aujourd'hui le paratonnerre à trop de trucs chiants à penser à organiser et à FAIRE, n'a pas fonctionné. 

Bon. 

Une fois en 14 ans 1/2, c'est pas si pire. 

J'y vais alors. 

Tu m'aides à trouver quoi écrire ? Qu'est-ce qui t'intéresserait ? 

Tendresse ma chérie-chéri. 

mon moment préféré

Ma chérie-chéri,

J'adoooore quand les semaines se suivent et ne se ressemblent pas.

Cette semaine je travaille davantage à la maison - la semaine dernière, j'ai eu des rendez-vous à l'extérieur le matin ET le soir je suis retournée à Paris pour sortir, trois fois. La semaine d'avant j'ai eu mon torticolis. Bref, rien à voir. 

Ce que j'aime, les soirs où je sors - trois fois la semaine dernière, donc - je me pomponne, je mets parfois des robes parfois, des talons toujours des bijoux et toujours un soutif ! Ce que j'aime, c'est, en rentrant, tout oter... surtout les collants et le soutif et les chaussures élégantes... et enfiler mon pyj un gros pull des chaussettes des baskets... ou ma chemise de nuit, un jean fin, des chaussettes des baskets... Et piouf, je file dans la ville avec Hush.

Il a beau être tard, j'ai beau être crevée, le fait d'avoir la ville presque à moi seule et de marcher, libérée de mes entraves (je t'écris ça et j'enlève mon soutif, j'en ai mis un vieux que j'adore mais les baleines me font mal aux côtes, fait chier parce qu'il est seyant mais quel soulagement !!!). Ben je sens que je pourrais marcher jusqu'au bout de la nuit. Et puis y'a souvent des étoiles, et on prend le pont et on voit la ville entière, le monde est à nous, et Hush avance de son pas tranquille et se retourne pour me regarder, Tu viens ? pour vérifier que je suis bien là derrière ou à côté de lui. 

Bon mon autre moment préféré de la journée c'est quand je me couche !! Et l'autre, c'est quand je me lève chaque matin. Depuis que je ferme les volets jusque tout en bas, mes réveils nocturnes ont diminué de au moins 50 %. Voilà, c'était une histoire de pièce fraiche plongée dans l'obscurité complète. Bref je me lève bien plus fraiche et dispose qu'auparavant. 

Et toi ma chérie-chéri - c'est quoi ton moment préféré ? 

l'adulte dans la pièce

 

Tout à l'heure, j'ai parlé au téléphone avec une copine d'HEC. On ne s'était pas parlé depuis 20 ans. Elle me posait des questions sur mon ancien métier (biographe de personnes âgées, j'ai exercé ce métier de 2001 à 2005) - et je lui exposais les raisons pour lesquelles j'avais arrêté. Je ne suis pas sûre que le métier à cet âge (de 26 à 30 ans) me convenait, mais je crois aussi que si je choisissais de le reprendre aujourd'hui, je ferais différemment. 

Une chose qui a beaucoup changé dans ma vie professionnelle depuis les débuts où je suis devenue indépendante, c'est le système de support dont je te parlais l'autre jour. J'étais fort seule professionnellement, quand j'ai commencé Plume de vie en 2001. 

Mais je me souviens, lorsque cette copine et moi et tous les autres étions à HEC, je ressentais aussi une grande solitude. Après avoir été entourés, guidés, cornaquéespar une team d'adultes (et une super team en ce qui me concerne, les deux dernières années, en prépa) - nous nous retrouvions entre étudiants, juste des vingtenaires à qui on avait dit qu'ils étaient l'élite de la France. Arrogance et pas facile de trouver un sens. 

Mon père, qui m'avait vendu le paradis HEC depuis la prime enfance, a dû être désarçonné de me voir désarçonnée moi-même. Et il a fini par m'adresser à une amie à lui, qui était déjà dans les services administratifs d'HEC de son temps à lui (elle venait d'arriver), et qui y était toujours en ayant pris du galon genre directrice des études, quand moi j'y suis arrivée. Va voir Marie-Christine, elle est de bon conseil, m'a-t-il dit. 

Marie-Christine. J'ai été la trouver deux fois, à deux moments charnières de ma scolarité à HEC. Elle n'a pas été complaisante, ni particulièrement chaleureuse. Mais elle m'a reçue, donné de son temps, elle m'a donné à chaque fois un conseil que j'ai suivi et je m'en suis bien portée. Elle a été finalement, au cours des 4 années que j'ai passées à HEC (3 années de scolarité + 1 année de césure au Chili, c'est à ce moment-là, quand je préparais mon retour, qu'elle m'a reçu pour la 2ème fois), la seule adulte dans la pièce. Quelqu'un qui s'intéresse, qui prend le temps, qui me fait bénéficier de son expérience, de sa stratégie. Elle n'a rien à y gagner, pas de prestige, pas de retour d'ascenseur. Elle fait son boulot avec exigence - elle conseille de son mieux une étudiante. 

Merci chère Marie-Christine là où vous êtes aujourd'hui je vous dois deux fières chandelles.

 

Et sinon - ce soir - parait le nouveau numéro de 🛶 dans mon kayak ! tu peux déjà l'écouter ici, et t'abonner ici si ça te plait. 

la 3ème voie, et la 4ème, et la 5ème...

Bonjour ma chérie-chéri ! 

L'une des premières phrases que m'a dites André, mon superviseur de coaching (c'était il y a 5 ans, lors de notre second entretien de supervision de groupe, on l'a fait à distance car nous étions nouvellement confinés, tout s'était arrêté pour moi niveau business et je lâche, à lui et au groupe "Je ne vois pas comment je vais travailler pendant le confinement"). Et là André répond "Ce n'est pas une fatalité." 

C'est un très, très beau cadeau qu'il m'a fait ce jour-là. Me montrer que ce que je pense inévitable, inéluctable, "c'est forcé", ben en fait non - y'a une autre voie possible, et sans doute même plusieurs. Un cadeau qu'il m'a fait ET dont je me suis emparée - dont j'ai fait mon miel. 

Et en effet quelques mois après cette séance j'ai créé le premier programme compagnon, Voilà mes anges ! Puis au cours du 2ème confinement j'ai accepté d'animer des formations via Zoom - et j'ai super bien travaillé ! Puis j'ai repris et intensifié mon activité de coach... au téléphone, j'adooooore le téléphone, l'intimité et la flexibilité qu'il permet, le fait qu'on puisse se parler de très loin, j'ai des clientes en Suisse, au Canada, au bord de la mer les veinardes... et à Paris aussi. 

Le "ce n'est pas une fatalité" m'accompagne dès que l'une de mes clientes ou une de mes amies ou moi on tombe sur un os qui parait insurmontable. 

Il y a 3 semaines, lors d'un atelier... avec André, l'autre participante, pour se dire coincée, a dit Damn if I do, damn if I don't. J'ai bondi - "Mais non, tu as d'autres voies possibles, que le tout ou le rien, que le "ça va rester nul toute la vie" ou "si je bouge c'est mort, si je bouge pas c'est mort". 

Le Ce n'est pas une fatalité d'André, et (de moi aujourd'hui), c'est un portail - portail vers une solution imprévue, un oui à ce qui pourrait être, une ouverture vers une solution désirable. Toutes ces années où je me disais Mais je connais des gens dans le monde entier comment travailler avec elles, avec eux ? ben le covid m'a permis de m'autoriser le travail à distance, l'intimité sans se rencontrer physiquement - que je vivais déjà avec mon blog, avec l'écriture - et qui se renforce depuis 5 ans. 

Joie, grande joie d'entrevoir tous ces possibles entre les deux extrêmes ; et si je ne les vois pas encore, savoir qu'ils existent, qu'ils sont là pour moi et m'accueillent. 
La vie est tellement pleine de surprises !

Et toi ma chérie-chéri, qu'est-ce qui te donne de l'espoir aujourd'hui ? 

trouver un principe

Bonjour ma chéri-chérie ! 

Comment as-tu passé le week-end ? 

Moi j'ai vécu tellement de choses ! un dîner-révélation vendredi soir, des oraux d'entretiens de simulation dans la prépa de ma fille samedi, on a fait ça avec Nico ! et hier je suis partie avec ma paroisse aimée de Malakoff, marcher vers Chartres, un peu dans le vent et dans la pluie. 

Et ce matin, back à réfléchir et à ajuster et à planifier et à travailler. Un de mes travails de la semaine, c'est réfléchir à de nouveaux cadres pour ma vie. 

Le problème des cadres et des principes... c'est que les situations changent... et que les cadres doivent s'adapter à la situation qui a changé. 

Hush mon chien, nous le promenions 3 fois par jour quand les filles étaient à la maison, deux fois moi le matin et le soir et une fois une de mes filles, en roulement. On avait un tableau des balades du chien, c'était parfait. 

Et puis les filles ont quitté la maison, donc j'ai perdu "une baladeuse par jour" ; et puis le chien a vieilli. Il n'a plus systématiquement envie de se balader tôt le matin, ni tard le soir, ça vient quand il veut. C'est lui qui décide ? me demande mon amie Sylvie quand je suis arrivée en retard à notre rendez-vous ce matin, parce que Hush avait eu envie de se balader - ce qui arrive peu le matin depuis quelques mois, ces derniers jours la première balade pour laquelle il était partant était à 17 heures (avant ça on le mettait dans le jardin). 

Plein de domaines de ma vie connaissent des chambardements.

J'ai doublé le nombre de mes clientes en coaching.
"Mon asso" l'Oasis des familles accueille de nouveaux engagés et des mamans d'enfants plus petits. 
Nico ne travaille plus à Matignon. 
Notre voiture, dont nous disposions en leasing, on la rend cette semaine. 

Tous ces évènements demandent de me réajuster. De trouver de nouveaux principes, de les tester, de les communiquer - et s'ils fonctionnent, de m'y tenir - jusqu'au prochain chambardement. 

Le changement est l'autre nom de la vie. J'adore cette phrase, elle m'aide à accepter les changements - parce que même les changements qui ont été appelés et désirés, demandent des ajustements rarement confortables. 

Ma chérie-chéri - je te souhaite un super démarrage de semaine. What is on your plate this week ? 

entre deux quoi

 

Bonsoir ma chérie-chéri, 

comment vas-tu ce soir ? 

J'ai mis ma belle robe pour sortir, une noire fluide ; et des pendants d'oreille très 19ème siècle. Je suis heureuse de retrouver Nicolas et nos amis - et n'ai pas envie de laisser Hush tout seul ! Mon p'tit poupou qui fait la grasse mat jusqu'à midi et pète la forme le soir. 
 
Je t'écris entre deux versions de mon texte pour la 2ème semaine du programme-compagnon ; pendant que la pâte lève, en quelque sorte. Je t'écris pétrie de doutes sur la qualité de mon travail, sur le bon degré de disclosure - je n'avais pas idée à quel point c'est intime ce sujet de la visibilité !! 

Voilà. J'y retourne (à relire et enregistrer la version audio). Ce week-end c'est un week-end hop hop hop, je n'aurai pas beaucoup de temps à moi. C'est rare. J'aime bien aussi. Et j'aime bien être un peu tranquille quand même. Bon ben, pas ce week-end. 

A lundi chérie-chéri !

un socle

Quand tout ça sera terminé (tout ça quoi ?!), je me souviendrai avec gratitude de cette semaine, ce mois, cette année, ces années, où j'ai passé du temps avec mon système de support tellement génial et généreux et pointu et aimant. 

Julie qui est là pour moi semaine après semaine et avec qui on questionne inlassablement. 

André et les filles (le groupe de supervision de coaching) ; et André tout seul (mon espace thérapeutique)

Sarah, ma coach-fée 

Mes clientes tellement estimées estimantes cherchantes 

Nicolas sur qui je fonde ma vie

et Hush 

Laure mon amie des blagues de tous les jours

mes parents et mon frère, mon Boune adoré 

mes filles poupouni, ma Chimène, mon Alma

et ma belle-famille, la famille de Nico

et Minh et la bande du yoga

et la bande de l'Oasis des familles

et ma bande d'amis de 32 ans et par tous les amis venus depuis 

et ma famille maternelle, ceux de Belle île !!!!!! 

et mes maisons d'édition, Cent Mille Milliards et First

et la boîte de formation qui me donne un socle

et ma paroisse de Saint Marc à Malakoff

et tous mes mentors ! à commencer par Julia et par John et Julie Gottman et Catherine et Chine 

et toi ma chérie-chéri. 

Je bataille en ce moment, pour progresser dans ma carrière, pour trouver ma montagne suivante, pour progresser dans nos finances ; et je sais aussi que ce que j'ai toujours voulu (naviguer dans un univers chaleureux, gagner et dépenser de l'argent à 80 % avec joie, sens, utilité) - et ben je l'ai. Je le vis. 

Ce système de support, ce n'est pas un moyen - c'est une fin. 

Allé zou. A consolider tout ça. 

MERCI LA VIE. 

le billard à deux bandes

I am guided and guarded.

Et donc je continue à utiliser l'outil de guidance très simple proposé par Julia Cameron.
En ce moment, tous les jours, plusieurs fois par jour.
Quand je ne sais pas quoi faire sur un sujet précis... J'écris sur mon carnet, "what should I do about X ?", par exemple "j'écris quoi sur mon blog aujourd'hui ?" ou "comment j'embouche la discussion sur le groupe whatsapp du prog-comp ?"

très souvent "la guidance" me répond de manière indirecte, "d'abord bois une tasse de thé", ou "avant d'écrire sur ton blog, termine ci ou ça" - cet aprèm "la guidance" m'a demandé de terminer une liste de mes formations que je dois envoyer à Julie.  

Julia Cameron, elle, raconte que sa guidance lui dit souvent, "all is well" - et ça l'énerve. Moi elle me dit souvent "dors dessus", ou "fais ça avant", elle ne répond pas à ma question directement (parfois si hein ; et même de manière super pertinente, hyper affûtée et surprenante). Donc elle répond à ma question par un détour et - ça m'énerve ET je sais que le détour est juste, et que j'aurai la réponse à ma question après. 

Which is the case today, j'ai fait ma liste pour Julie, et je savais ensuite que j'avais envie d'écrire sur cette guidance "billard à deux bandes". 

Quant à Julia Cameron elle aussi elle se rend compte à la fin que oui, "all is well" dans la situation qu'elle a soumis à sa guidance. 

Et toi ? tu poses des questions par écrit "à un truc" auquel tu crois (ou pas) ? Moi je l'appelle "dear God". Et putain qu'est-ce que ce "dear God" me guide bien ! 

A propos de questions qui font avancer (ou qui réconfortent). Dans 🛶 dans mon kayak d'aujourd'hui, je partage une question qui m'aide à remonter quand je suis  démoralisée ou ensuquée ! Ici tu peux écouter tous les épisodes depuis le début (janvier), ici tu peux t'abonner si tu ne la reçois pas encore.

Comme disait Louise pas plus tard que last week, "j'A-DO-RE dans mon kayak, quelle belle énergie! <3 <3 <3"

Hi ouiiii !! 

exactement

Create an imperfect world, and then improve it. 

Joie et joie et rejoie de créer programme compagnon après programme compagnon ; et de le créer pour des personnes qui reviennent, pas toutes à tous les programmes mais suffisamment pour que je sois "contrainte" à innover. 

Je me demande, "bon comment je vais endélicer M et V et Y cette fois ci, et comment je vais accueillir I, et C ?" 

Hi c'est un casse-tête que j'adore. Et les questions c'est fooort, quand on les pose on trouve ! (By the way, je suis très stimulée par toutes celles que pose James Clear sur son insta et dans sa newsletter). 

Joie aussi d'avoir décidé "de me saper un peu plus", avec des robes et du rose à lèvres (que j'ai déjà hein ! rien d'extravagant ; en revanche je me rachète des collants !!) pour toute la période. Je me sens... une queen, quand je marche dans la rue. 

Et puis tous ces arbres en fleurs sous le soleil rutilant. 

Et toi ma chérie-chéri - qu'est-ce qui te met en joie aujourd'hui ? 

(Aussi, j'ai passé tellement une semaine dure la semaine dernière !! ce torticolis m'a mise à terre, je ne suis VRAIMENT pas faite pour tomber malade ; du coup bah, je revis).