Bonjour ma chérie-chéri !
L'une des premières phrases que m'a dites André, mon superviseur de coaching (c'était il y a 5 ans, lors de notre second entretien de supervision de groupe, on l'a fait à distance car nous étions nouvellement confinés, tout s'était arrêté pour moi niveau business et je lâche, à lui et au groupe "Je ne vois pas comment je vais travailler pendant le confinement"). Et là André répond "Ce n'est pas une fatalité."
C'est un très, très beau cadeau qu'il m'a fait ce jour-là. Me montrer que ce que je pense inévitable, inéluctable, "c'est forcé", ben en fait non - y'a une autre voie possible, et sans doute même plusieurs. Un cadeau qu'il m'a fait ET dont je me suis emparée - dont j'ai fait mon miel.
Et en effet quelques mois après cette séance j'ai créé le premier programme compagnon, Voilà mes anges ! Puis au cours du 2ème confinement j'ai accepté d'animer des formations via Zoom - et j'ai super bien travaillé ! Puis j'ai repris et intensifié mon activité de coach... au téléphone, j'adooooore le téléphone, l'intimité et la flexibilité qu'il permet, le fait qu'on puisse se parler de très loin, j'ai des clientes en Suisse, au Canada, au bord de la mer les veinardes... et à Paris aussi.
Le "ce n'est pas une fatalité" m'accompagne dès que l'une de mes clientes ou une de mes amies ou moi on tombe sur un os qui parait insurmontable.
Il y a 3 semaines, lors d'un atelier... avec André, l'autre participante, pour se dire coincée, a dit Damn if I do, damn if I don't. J'ai bondi - "Mais non, tu as d'autres voies possibles, que le tout ou le rien, que le "ça va rester nul toute la vie" ou "si je bouge c'est mort, si je bouge pas c'est mort".
Le Ce n'est pas une fatalité d'André, et (de moi aujourd'hui), c'est un portail - portail vers une solution imprévue, un oui à ce qui pourrait être, une ouverture vers une solution désirable. Toutes ces années où je me disais Mais je connais des gens dans le monde entier comment travailler avec elles, avec eux ? ben le covid m'a permis de m'autoriser le travail à distance, l'intimité sans se rencontrer physiquement - que je vivais déjà avec mon blog, avec l'écriture - et qui se renforce depuis 5 ans.
Joie, grande joie d'entrevoir tous ces possibles entre les deux extrêmes ; et si je ne les vois pas encore, savoir qu'ils existent, qu'ils sont là pour moi et m'accueillent.
La vie est tellement pleine de surprises !
Et toi ma chérie-chéri, qu'est-ce qui te donne de l'espoir aujourd'hui ?
Ah la joie des Eureka, je vis pour ça !
Rédigé par : Milky/Bree | mercredi 26 mars 2025 à 12:33
putain moi aussi ! + les cakes au citron + les arbres en fleurs
Rédigé par : Christie | mercredi 26 mars 2025 à 13:05
Lire tes posts et me rappeler que le changement est l'autre nom de la vie, qu'une nouvelle voie s'offre à moi et qu'il me faut trouver une nouvelle voie. I can't rain forever
Rédigé par : Louise | mercredi 26 mars 2025 à 15:09
Eh bien aujourd'hui, ce qui me donne de l'espoir , c'est la phrase que tu partages. "Ce n'est pas une fatalité". Je vais la faire mienne et tenter d'avancer !
Rédigé par : Cath l'ancienne | mercredi 26 mars 2025 à 17:42
ah tant mieux ! c'est pour ça que je les partage largement, ces phrases de mes mentors, pour qu'elles portent et inspirent d'autres personnes que moi et essaiment largement. Hier Isabelle que tu connais un peu, m'a rappelée cette phrase d'un autre de mes mentors, Jean Pascal Debailleul : le héros, c'est celui qui tient les contraires le plus longtemps possible.
Rédigé par : Christie | mercredi 26 mars 2025 à 17:48
Lire des phrases intelligentes...comme "Aie confiance dans le lien qui existe":)
Les résultats inattendus et bienheureux des 300 questions pro psy dépouillés par logiciel et psychiatre spécialiste ,
avoir pu récupérer après 2h30 d'efforts acharnés mon cochon d'Indes coincé entre 2 murs dont le faible espace envahi de lierre de haut en bas laissait à peine passer un corps fin de biais (les pompiers de Haute Vienne ne se déplaçant pas à 19h pour "un simple cochon d'Indes qu'il suffisait d'attendre en l'appâtant" :connaissent pas les cochons d'Indes ces fonctionnaires de nos impôts !!!
être en vie , premier privilège (même si d'autres en ont , davantage sans doute, sans en profiter forcément)
Rédigé par : bB | mardi 01 avril 2025 à 04:43