Suite à une nouvelle étape du délire, qui a encore induit des commentaires qui dépassent ma capacité de réponse et mon niveau d'attention, et - summum de l'exposition merdique - une citation tronquée, hors contexte, de mes propos chez Jean-Marc Morandini, je cesse la publication sur ce blog.
J'avais déjà demandé ce week-end à Pierre Chappaz de sortir du classement wikio. Cela ne sera pas suffisant pour endiguer la vague de bêtise.
J'aurais beau le répéter des dizaines de fois, le clamer sur tous les tons, cela ne passe pas. Je ne suis pas un blogueurinfluent. Je suis quelqu'un, qui bloguait depuis plus de cinq ans, à son rythme, selon ses contraintes, livrant billets sérieux ou pas, déconnades et liens, remarques, à des degrés divers. Sans jamais avoir prétendu à quoi que ce soit d'autre.
La bulle médiatique autour des blogs a engendré une sorte de monstre, qui est une invention stupide, le blogueurinfluent. L'attention des media, qui a eu besoin de symboles, s'est cristallisée autour de ce blog, comme un symbole du blog politique.
J'ai tenté de jouer le jeu de cette participation médiatique, espérant livrer ma passion et ma connaissance cet espace en train de se développer. Cette passion et cette soif de compréhension reste intacte, elle s'est même développée, ainsi que ma compétence. Mais la notoriété de versac a dépassé ma capacité à faire comprendre ce que nous vivons, en ligne, dans ces espaces bizarres que sont les blogs. Le bruit devient plus fort que ma parole. Surtout le mauvais bruit, qui inonde également le web.
Le climat qu'engendre cette suspicion d'influence, cette notoriété, ne rend plus possible une pratique simple de ce blog. Cela fait des mois que je chronique cette difficulté. Elle atteint un point de non retour. J'ai un peu trop subi de trucs, ces derniers mois, pour que cela ne m'atteigne pas. Je peux entendre toutes les critiques. Je les cherche même. Mais ce que je ne peux entendre sont des critiques qui n'ont rien à voir avec la réalité, ces digressions insultantes liées à un statut imaginaire, mais tellement facile, de "grand", de "star", "d'influent".
Je sais, en fait, pourquoi je n'ai pas arrêté plus tôt : ce blog m'a procuré la joie de superbes rencontres, de lectures, d'événements qui m'ont fait grandir, m'ont donné accès à d'autres d'une fantastique richesse. J'ai cru un moment que ça pourrait continuer, mais l'afflux permanent de bruit le rend impossible. Bloguer suppose, pour moi, la sérénité d'un échange dénué de ces tensions.
Je crois avoir donné pas mal à cet espace que forment les blogs. Donné en analyses, en initiatives, en événements, en liens. Aussi un peu en réflexion, en chaleur, en regard sur ses pratiques. J'y ai joué. J'ai expérimenté et appris. Je suis redevable à des centaines de blogueurs de leurs échanges. Cela, je le garde, j'ai tenté de le rendre, je le rendrai encore.
Mais ailleurs.
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Il est donc temps pour moi de passer à autre chose. Ça ne se passera sans doute pas ici. Oubliez "versac.net", nom et identité que je ne maîtrise plus, avatar stupide que des journalistes et des blogueurs ne veulent pas comprendre, totalement fixés sur la blogostar et le concept fumeux de blogueurinfluent, qui n'existe pas. Dans cette économie ridicule de la visibilité à outrance, héritée de ces media qui meurent à petit feu, devenir une star est un sport que je n'aime pas pratiquer.
Oh, je ne suis pas parfait. Je n'ai jamais prétendu l'être, ni quoi que ce soit d'aurte. J'étais juste là. Je tentais de suivre ici une ligne floue, faite d'humeurs et de réflexions, légères et graves. Mais avec toujours en point de mire une tentative d'éthique et de justesse, de sincérité. Cela n'est plus possible, tant pis.
En attendant, je publierai, ailleurs. Sous mon vrai nom, sans pseudo. Et avec d'autres modes d'interaction. J'ai des projets heureux de ce point de vue, qui me permettront de travailler autrement à l'expression de cette passion et cette connaissance de ce qui se passe, ici, sur le web. J'ai quelques propositions de tribunes, ici ou là, de collaborations, d'autres projets. Ça sera sous mon nom, et pas ce truc qu'est devenu versac. Il y a un livre, aussi, que je vais terminer cet été.
Me libérer de ce blog pesant m'ouvre des horizons nouveaux.
Et puis j'ai créé une entreprise, qui grandit et crée une compétence assez unique, en ligne, aujourd'hui. Elle est clairement une priorité. Elle a un blog, elle aussi. Ce sera un nouveau genre, des billets plus fouillés et professionnels, qui ne seront pas ceux de versac.
A bientôt ailleurs.
Découvrez Syd Matters!
Ah ben flûte, le jour où on s'était dit qu'on avait bien envie de poster un commentaire chez Versac. Trop bête.
Rédigé par : Isabelle Roberts et Raphaël Garrigos | 08 juillet 2008 à 00:26
Dommage d'arrêter un blog en gardant un goût amer... mais je suis sûr qu'avec le temps tu ne te souviendras que des bons moments.
Bonne route Nicolas !
Rédigé par : GreG | 08 juillet 2008 à 00:31
En tout cas, merci pour tes encouragements pour ma "bande" ce matin chez moi.
Ne te casse pas le moral pour tout ça. Ce qui se passe prouve que les blogs ont atteint une masse critique, et que les "journalistes" commencent à s'inquiéter.
Rédigé par : dagrouik | 08 juillet 2008 à 00:32
Bon vent alors, dans tout ce que tu entreprendras, et pour ton entreprise.
Rédigé par : Stéphane | 08 juillet 2008 à 00:33
A bientot Nicolas, ailleurs. Et merci pour ce que ce blog a pu m'apporter de reflexions, de contrarietes et de decouvertes.
Rédigé par : Garçon | 08 juillet 2008 à 00:41
Franchement, cette réaction fébrile n'est pas digne de vous. Les papiers (hygiéniques?) de certains publicistes ne méritent pas autant d'honneur.
Siouplait, on est encore quelques uns à penser que votre blog est bien plus stimulant que toutes les bidasseries entendues ici ou la dans le paf et dans le pif.
Rédigé par : NoelBairel | 08 juillet 2008 à 00:42
Zut et flûte et re-flûte !
Pas tenter de recommencer à zéro, ailleurs en tout anonymat ?!
Bon vent, et peut être à bientôt sous de meilleurs horizons.
Rédigé par : Bob | 08 juillet 2008 à 00:44
Ça y est, les termites ont fini de bouffer les fondations par ici ? Au plaisir de te lire ailleurs et de te voir DLVV ;-).
Rédigé par : padawan | 08 juillet 2008 à 00:45
Ce blog va me manquer...
Dommage de devoir s'en aller ainsi. Mais à bientôt autre part !
Rédigé par : François | 08 juillet 2008 à 00:47
Je ne sais si la blogosphère va perdre de son "influence", mais à coup sûr elle va perdre un peu de ce qui fait sa richesse. Merci pour ce que tu as pu apporter à ceux qui te lisent régulièrement. Je t'avais découvert il y a quelques mois ainsi que d'autres blogs et la confrontation avec des idées qui ne sont pas pas forcément les miennes est devenue une source incontournable d'enrichissement, que je ne trouvais plus dans les media conventionnels. Bonne route. Bonne chance.
Rédigé par : ELM143 | 08 juillet 2008 à 00:55
Ce soir je suis juste "triste" fait. Connement j'ai coché la case " Conserver mes coordonées?"... Connement. Juste triste donc.
Rédigé par : Macsym | 08 juillet 2008 à 00:57
C'est sans doute une sage décision mais en tant que lecteur, je suis un peu triste que tu t'arrêtes. J'appréciais vraiment la justesse et la pertinence de tes analyses. Bonne chance pour la suite.
Rédigé par : PAC | 08 juillet 2008 à 00:59
Dommage de laisser croire à ces journalistes qu'ils sont vainqueurs alors qu'en réalité ils ont peur ...
Enfin c' est votre choix...
Vous me manquerez , je ne suis pas très cultivé mais sur votre blog, j' ai beaucoup appris en matière de réflexions
Merci .
Rédigé par : Michel | 08 juillet 2008 à 01:00
Belle musique pour un triste soir.
Rédigé par : visiteuse éphémère | 08 juillet 2008 à 01:03
Au revoir grand frère, car c'est un peu ça, ton influence. Merci.
Rédigé par : knd | 08 juillet 2008 à 01:06
Je ne comprends pas, pourquoi baisser les bras face à la bêtise.
Internet et le Web ne sont pas des vase clos comme vos détracteurs souhaiteraient que ce soit le cas.
Que vous vous retiriez de Wikio n'est pas un souci, cela aurait retiré un argument de ses imbéciles, sans que les gens qui vous lisent quotidiennement disparaissent.
Mais retirer son blog... pourquoi ? laisser un peu plus de place à la bêtise ambiante ?
Rédigé par : thierryl | 08 juillet 2008 à 01:18
Trois années que je lis ce blog, et c'est ce dernier billet qui m'aura enfin fait réagir. C'est maheureux.
Bonne continuation et merci pour toutes ces lectures !
Rédigé par : Ulrich | 08 juillet 2008 à 01:22
Oui, je joins ma voix à celle de plusieurs commentateurs : n'est-ce pas donner une victoire facile aux détracteurs ? Mais je peux comprendre ce qu'il y a de pénibles dans ce torrent de récriminations injustifiées qu'il te faut endurer.
En espérant malgré tout que tu reviendra sur cette décision, quitte à changer de blog.
Rédigé par : Raveline | 08 juillet 2008 à 01:23
Dans cette économie ridicule de la visibilité à outrance, héritée de ces media qui meurent à petit feu, devenir une star est un sport que je n'aime pas pratiquer.
Magnifique passage ! si vous ne revenez pas sur votre décision, à bientôt dans un espace encore plus "réseau" de part les comportements, où les stars n'auront plus de signification.
Leur type de société est morte, je vous l'accorde.
Rédigé par : thierryl | 08 juillet 2008 à 01:24
Au revoir blogueurinfluent ! Joke inside ! Bonne continuation quand même !
Rédigé par : kwiky | 08 juillet 2008 à 01:29
Je trouve que le dépôt de bilan est une excellente idée.
Le journalisme a besoin de repères très stables pour favoriser son fonctionnement paresseux : il faut des noms tout prêts, des témoins prêts à être interrogés dans la journée pour bouclage le soir même.
Dynamiter le label "versac", en abolir la notoriété, est un coup de pied dans la fourmilière : c'est une ligne qui saute dans les carnets d'adresse des collègues se refilant des sujets en kit.
Bref, même si ça a l'air contre-intuitif à première vue, la terre brûlée est plus audacieuse que la réaction inverse, la guerre de tranchée.
Rédigé par : Fr. | 08 juillet 2008 à 02:18
si la fin de ce blog relève de votre volonté propre - rien à dire ; si vous êtes "poussé vers la sortie", j'aurai l'outrecuidance de trouver cela un peu idiot...
mais comme dit thierryl, cela aura peut-être été l'occasion de "nous" donner un très beau texte
Rédigé par : peggy | 08 juillet 2008 à 02:23
Un peu sonné j'ai eu l'esprit de l'escalier après mon premier commentaire, alors je te livre un extrait d'un commentaire posté avant-hier chez mon Padawan (Mise en abîme du journalisme sur le web. Je crois qu il est assez appropié à ce qui se passe, ou malheureusement ne se passera plus ici.
"Il n'est pas question sur le fond du billet de compétences techniques informatiques, il est question de contenu et d'éthique. Et pour ça il n'y a pas besoin d'être développeur. Il est question du corporatisme des journalistes, déboussolés car l'accès à l'information n'est plus le privilège des seules salles de rédaction. Il est question de la peur d'une profession sclérosée dans une conception dépassée du traitement de l'information. Celle-ci devenant accessible à tous sans passer par la barrière d'octroi des médias conventionnels papier, TV, radio, chacun avec un minimum d'esprit critique et de culture politique et générale peut en faire l'analyse et en soumettre le résultat au débat et à la discussion. Ce qu'apporte le web par rapport aux autres média c'est la capacité de diffusion et la réactivité. Le problème des journaleux c'est qu'ils se croient obligés de se lancer dans une course à l'échalotte de l'audience, à qui publiera le premier ce qu'ils pensent être le scoop, fut-il un non évènement, et ce en réponse à d'inavouables motivations. Et il en oublient toute décence, toute morale, toute mesure pour la seule satisfaction de leurs mesquines obsessions et de leur paranoia.
Le support il est ce qu'on en fait. Et si on en fait de la merde, il ne faut pas couiner quand on se la fait tartiner sur la figure.
Je ne sais pas où est l'élitisme là-dedans. Mais certainement pas du côté des utilisateurs du web qui n'ont pas besoin d'être des champions de la technologie et qui ne prétendent pas à l'universalité, cherchons le plutôt chez ceux qui se veulent les chantres de la pensée unique et n'acceptent pas que l'on vienne piétiner ce qu'ils pensaient être leur pré carré ad vitam aeternam."
Rédigé par : ELM143 | 08 juillet 2008 à 04:04
Hello Nicolas,
je te souhaite une bonne continuation pour la suite. Content de t'avoir rencontré.
PS : j'ai déjà écrit un billet à ce sujet http://twurl.nl/i3mrtm
A bientôt
Rédigé par : Mateusz Kukulka | 08 juillet 2008 à 05:32
Je sentais que ça allait finir comme ça, toute cette affaire (ubuesque) était comme une lame de rasoir.
Merci pour ces années...
Bonne route !
Rédigé par : Qui©he | 08 juillet 2008 à 05:41
@ Elm143
Toutes les Anglaises ne sont pas rousses, il n'y a pas "des journalistes, déboussolés" ni "le problème des journaleux" qui "se croient obligés de se lancer dans une course à l'échalotte de l'audience" pas plus qu'il n'y a "des blogueurs qui..." Il y a certains journalistes, il y a certains blogueurs.
Je suis journaliste, j'écris sur papier depuis 30 ans, et en ligne depuis une dizaine d'années. Il y a plein de sites de journaux en ligne, et certains sont seulement en ligne. Donc les généralisations sur les journalistes me paraissent un peu dérisoire comme toutes les généralisations.
Ou alors écrivont, les journalistes ne comprennent rien au Web, et les sportifs sont des boeufs qui ne savent pas lire.
Rédigé par : Gilles Klein | 08 juillet 2008 à 06:04
Premier commentaire sur Versac après des années a le lire tapis dans l'ombre du webmobile. Mais il fallais qu'avant que ce blog se termine j'y aille mettre un petit mot.
Versac fait (faisait ? Je sais plus trop a quel temps le mettre) bouger les foules de par ses analyses... Il manquera quelque chose a la blogosphère (plus si sphérique que ça d'ailleur).
Dommage...
Bon vol...
Rédigé par : Eow | 08 juillet 2008 à 06:15
Encore un lecteur qui sort de l'ombre pour dire qu'il manquera désormais un précieux fil dans mon lecteur rss...
N'hésitez pas à nous laisser les fils de votre nouvelle "influence" car lorsqu'on possède la verve et l'énergie que vous dégagez, il y a fort à parier qu'on reviendra poster un commentaire sous l'un de vos post...
Bon vent,
Rédigé par : Jeff | 08 juillet 2008 à 07:04
Versac est mort, vive Nicolas !
Rédigé par : nicolasJ | 08 juillet 2008 à 07:08
C'est la meilleure nouvelle que l'on pouvait attendre de ce blog !
Entendons-nous bien : je vous regretterai. Versac.net était peu à peu devenu pour moi un passage obligé, un lieu d'échange, parfois vifs, souvent stimulants, toujours dignes, avec ses habitués…
Mais je suis persuadé qu'un blog demeure intrinsèquement une expérience relativement éphémère. Non pas qu'il soit inconcevable de bloguer pendant vingt ans, voire toute une vie, mais je pense que pour que cela ait un sens et ne devienne pas une pratique sclérosée et sclérosante, il y faut des mutations régulières.
Si vous êtes parvenu au degré d'exaspération et de lassitude que vous décrivez, le mieux est effectivement d'arrêter. La vie est changement. Vous vivrez de nouvelles aventures ailleurs, autrement, de façon plus légère. Et si l'occasion s'en présente, j'aurai plaisir à vous y recroiser.
Rédigé par : Antoine Block | 08 juillet 2008 à 07:12
Des baisers et merci pour avoir été un passeur, un titilleur de curiosité, un ouvreur de fenêtres.
Dommage que versac s'arrête dans ces conditions, mais je continuerai à lire Nicolas Vambremeersch (même si c'est plus long à écrire).
Rédigé par : samantdi | 08 juillet 2008 à 07:15
Incroyable mais vrai ! Cela faisait longtemps que tu en parlais, non ?
Tout cela pour une ultime polémique qui a mal tourné et qui m'a fait passer un week-end digne de ces journées de bataille rangées qu'on avait il y a deux ans, souviens-toi...Le nombre de blogs qui comptent, allument des mèches, font de grosses polémiques légitimes et entretiennent la passion de fonctionner en vase clos, est en train de se réduire comme peau de chagrin...
Rassure-toi, on ne te soupçonnait plus de vouloir régenter, en tant que blogueur...J'ose croire que tu vas revenir sur cette décision, même si elle te regarde...
Contrairement au "DEL", Versac.net n'a jamais été un blog toxique.
Nous autorises-tu un Requiem respectueux dans quelques jours ?
Rédigé par : Julien Tolédano | 08 juillet 2008 à 07:16
A bientôt ailleurs et merci pour ici. L'esprit critique est un bien précieux.
Rédigé par : WebOL | 08 juillet 2008 à 07:20
Hasta la victoria, siempre !
Enfin, disons plutôt : à bientôt, donc.
Rédigé par : Gus | 08 juillet 2008 à 07:29
Bravo ! Merci pour tout ce que tu as apporté ces dernières années. J'aurais plaisir à lire les futurs billets de Nicolas V.
Rédigé par : Frederic | 08 juillet 2008 à 07:42
Quel dommage vous soyez obligé d'en arriver là...merci pour tous ces billets qui m'ont fort intéressée et aidée à avoir un autre regard sur la politique.
Très bonne continuation à vous!
Rédigé par : Breizh' | 08 juillet 2008 à 07:42
Je comprend parfaitement le fond de tout cela…
Bonne chance pour la suite. Ca peut être très plaisant de repartir d'une page blanche !
:-)
Rédigé par : filaplomb (éditeur de bonnes nouvelles !) | 08 juillet 2008 à 07:46
Bonne route, la vie est faite de changements!
A bientôt.
Rédigé par : Drakar | 08 juillet 2008 à 07:46
blogueurinfluent, je ne sais pas ce que cela veut dire. J'ai lu ce blog régulièrement parce que j'y trouvais un propos pertinent et intéressant matière à nourrir ma propre réflexion. Bonne continuation.
Rédigé par : Monsier Prudhomme | 08 juillet 2008 à 07:46
C'est ton choix. C'est ta vie. Il faut respecter.
Bonne route, Nicolas, à toi et à ta famille.
Gérard.
Rédigé par : Aetius | 08 juillet 2008 à 08:07